Aujourd’hui, les start-up fleurissent et meurent dans l’excitation générale, autour de valorisations parfois affolantes. Cette dynamique repose pour beaucoup sur l’immatériel, des promesses de succès auxquelles les investisseurs croient, dans l’espoir d’avoir débusqué la future licorne.
Pour autant, même si elles semblent paraître – souvent à tort – moins dynamiques ou attractives que les start-up, les entreprises plus matures ou traditionnelles ne sont pas en reste et devraient s’inspirer davantage de ce qui a cours pour les jeunes pousses. Comme elles, la question de la valeur des PME se posent. Et si les règles du jeu avaient changé? Si les PME apprenaient à mieux valoriser leurs atouts et l’immatériel?