Oui, vous avez bien lu, et ce n’est pas mensonger ! C’est même on ne peut plus légal.
Quel entrepreneur n’a pas souhaité un jour avoir davantage de fonds propres pour :
- accéder à des financements plus importants par exemple (prêts, subventions dont le plafond dépend des fonds propres…)
- renforcer sa crédibilité face à des partenaires
- ne pas être dilué trop rapidement dès que des associés ou investisseurs entrent dans la danse…
Et généralement, la seule solution que tout entrepreneur imagine se résume à : « comment trouver plus de cash ? »
Évaluation des actifs immatériels
Et pourtant bien souvent, la richesse est déjà là, nichée dans vos atouts, dans ce que vous avez construit.
Pour peu que vous ayez pris les décisions pertinentes dès le début de votre aventure entrepreneuriale, ces atouts sont un formidable levier pour diversifier vos revenus, directement ou indirectement.
Si des actifs immatériels peuvent être identifiés, valorisés (attention pas n’importe comment !), puis apportés au capital de votre société, vous obtiendrez le levier tant attendu sur vos fonds propres.
La démarche à un coût à court terme, mais rapporte bien plus à moyen terme (financements plus importants, potentiellement un peu plus de CIR ou CII selon le cas, dilution très amoindrie, une plus forte crédibilité face à des investisseurs…).
La valorisation financière est un levier encore méconnu en France où on n’y recourt qu’en cas de conflit bien souvent.
Attention à bien choisir votre « évaluateur » !
Il doit être à l’aise avec le sujet des actifs immatériels de tout type (pas uniquement brevet ou marque, ou encore fonds de commerce). A défaut vous risquez des déconvenues et des erreurs qui pourraient avoir un impact fiscal indésirable.
Il faut donc un interlocuteur qui maîtrise à la fois les aspects techniques, les aspects marché, les aspects stratégiques, les aspects financiers, juridiques et fiscaux.
Nous réunissons toute l’expertise pour vous guider (ou non) vers cette solution.